Jamais mouillé
- Norbz ZEBRE
- 3 nov.
- 1 min de lecture
L’herbe est toujours plus verte sur l’autre rive.
Ainsi, les ponts se suspendent, tournent ou basculent.
Toujours plus proches les uns des autres.
On les construit pour obliger les gens à reconsidérer la notion de distance.
Aussi, celui qui n’a pas traversé ne se moque plus de celui qui s’est noyé.
Et celui qui connait les deux rives, jamais ne s’est mouillé.
Enfin je me comprends.

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