Ramen(s)
- Norbz ZEBRE
- 17 sept.
- 1 min de lecture
Un imbécile qui marche ira toujours plus loin que deux intellectuels qui mangent des ramens.
Mais les mangeurs ne prêtent point l’oreille aux collibets.
Ils savent que le dard du mépris facétieux perce l'écaille de la tortue naine.
Ils n’ont cure, ni des fâcheux, ni des misérables freluquets.
Il faut gravir la tour pour contempler ses alentours.
Et manger des ramens.
Enfin je me comprends.

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